Macron dans mes veines...???
C'est hélas possible.
Ou : rions un peu...
 
           
        Presqu'immédiatement après la mort de l'ignoble roy anglais Henry VIII et du roy-enfant Édouard VI, qui ne lui succéda sur le trône, semble-t-il, que pour y mourir quasi aussitôt, la reine Élisabeth 1ère instaura dans l'île des saints, ainsi qu'on appelait l'Angleterre dans les temps mérovingiens, un terrible régime de terreur religieuse à base de protestantisme, mettant cruellement à mort prêtres et fidèles qui voulaient garder la Foi catholique de leurs ancêtres. Élisabeth se révéla, pendant les quarante ans de son règne, la digne fille d'Henry VIII, qui avait assassiné sa propre mère et deux de ses femmes sur les six qu'il eût, pour la satisfaction passionnelle de ses mœurs corrompues et l'assouvissement de sa soif orgueilleuse de pouvoir. La fille semblait certes plus "propre" que son père, du moins extérieurement, mais la haine froide, radicale et implacable de son cœur contre le catholicisme semble avoir été plus virulente, infernale et diabolique, que celle de son père...
           
        Cette persécution cruelle engendra en tous cas dans la race anglaise d'admirables et magnifiques martyrs de la Foi catholique, qui terrassèrent surnaturellement leurs indignes persécuteurs. Pour les vaincre plus sûrement encore, ils se servirent du génie même de leur race, dont la fine pointe consiste à terrasser l'ennemi par un humour caustique et supérieur, improprement appelé flegme britannique, montrant ainsi la supériorité de leur cause. C'est pourquoi l'on voit la plupart des martyrs anglais de ce temps-là se piquer d'honneur de lancer un dernier mot d'humour avant de quitter ce très-bas monde, se moquant ainsi de ceux qui, croyant les vaincre, les envoyaient en fait directement au Paradis éternel, dans "les nouveaux cieux et la nouvelle terre" (Apoc XXI, 1), pour y jouir sans cesse de la gloire et de la joie suréminentes qui, de par le Christ-Dieu et la Très-Sainte Trinité, n'ont pas de fin, durent toujours, sont sans cesse renouvelées...
           
        On connaît par exemple le dernier mot d'humour du plus célèbre martyr anglais de cette époque, saint Thomas More. Henry VIII, plein de haine contre son ancien ami qui refusait de souscrire à son divorce, le fit littéralement affamer dans la tour de Londres où il l'avait fait enfermer, de façon à ce qu'il arrive pantelant, faible et sans force, chancelant sur ses jambes, devant l'échafaud où l'attendait la terrible hache du bourreau pour le décapiter. Il supputait avec une méchanceté diabolique qu'il lui serait alors impossible de gravir le roide et raide escalier sans rampe pour monter sur l'échafaud haut-juché, sans risquer fort de tomber, ce qui aurait été évidemment du plus mauvais effet, et d'abord, et surtout, d'une manière affreuse, sur le martyr lui-même. Saint Thomas, amené sur les lieux pour subir son martyre, se rendit compte instantanément de la situation en descendant de la charrette des condamnés. Mais rempli de l'Esprit-Saint, il commença par se mettre à genoux au pied de l'escalier de bois, et récita avec ferveur les Psaumes qu'il avait préparés. Puis, il se redressa, et hélant à voix forte le bourreau, lui lâcha d'un ton volontairement désinvolte : "Hello, my friend ! Voulez-vous, je vous prie, me donner votre bras pour monter ? Rassurez-vous, je n'aurai pas besoin de vos services pour redescendre". Par ces seuls mots mâles et virils, so british, qui furent les tout derniers de saint Thomas More, la Bête, moquée et ridiculisée publiquement, était vaincue...
           
        C'est dans cette même optique, cette même veine d'humour surnaturel victorieux, qui finalement terrasse le mal dans son essence même rien que par cette douceur supérieure et invincible du souffle de la Bouche du Christ terrassant l'Antéchrist-personne ("Et alors se manifestera cet impie, que le Seigneur Jésus tuera par le souffle de Sa bouche" ― II Thess II, 8), que je vais tâcher de rédiger ce présent articulet humoristique...  
 
 
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        ... On nous dit, hélas en toute vérité, qu'il y a des tas de choses pas catholiques du tout dans le sérum de ces prétendus "vaccins" anti-Covid qui n'en sont pas, n'étant que des "thérapies" d'apprentis-sorciers : une protéine Spike toxique, de l'oxyde de graphène et beaucoup d'autres claxibules encore, susceptibles de transformer notre ADN irréversiblement, irrémédiablement (très-diablement en effet), modifiant ainsi radicalement à la sauce OGM, via notre système immunitaire, la nature humaine que le Bon Dieu nous a donnée pour notre bonheur terrestre en vue de celui du Ciel. Non seulement d'ailleurs, l'ADN des vaccinés est modifié, mais encore leur système immunitaire sera saccagé assez rapidement après la full vaccine : il va finir par s'aplatir complètement à un quasi zéro le rendant similaire au système immunitaire déficient des malades du SIDA. La seule différence avec les malades du SIDA sera que la cause en sera les vaccins et non pas un virus...
           
        Des scientifiques félons, traîtres, ignominieusement vendus au mal et collabos de l'actuel régime nazi universel 2.0 (le 1.0 n'était seulement qu'un régime nazi national à visée universelle), sont même, vu la grande difficulté de transhumaniser l'intégralité de la population mondiale par le seul procédé des "vaccins" à rappels, en train d'inventer une possibilité d'injecter ces produits transhumanisants dans des aliments naturels, par exemple de la laitue. Et alors, en consommant ces aliments achetés dans notre supermarket habituel, nous serions, sans même nous en rendre compte (car bien entendu, l'ingrédient transhumanisant infestant l'alimentaire naturel ne serait pas indiqué sur l'étiquette du produit vendu), progressivement changés en zombies trans-humains (par ailleurs informatiquement détectables en tous lieux et à tout moment). C'est-à-dire que, juridiquement, nous ne serions plus des humains...
           
        Parvenu à ce stade satanique ultime, la propriété de notre être individuel personnel, en effet, ne nous appartiendrait plus, encore moins à Dieu Créateur, nous appartiendrions aux lucifériens propriétaires des brevets de ces produits diaboliques mutant notre ADN. Car un ADN-OGM appartient à ceux qui l'ont transformé aux moyens de brevets d'inventions déposés légalement, le proprio originel est viré comme un malpropre, qu'il soit Dieu Créateur ou l'homme individuel créé par Lui...
 
 
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        Mais, en réalité, tout cela, pourtant extrêmement cauchemardesque, n'est rien, absolument RIEN. Moi, ce que je crains vraiment, c'est que la personne elle-même de Macron, ce petit dieu tordu de l'Autre avec nous, Emmanuel, me soit... injectée dans le sang, après avoir été réduite... nanotechnologiquement. C'est scientifiquement possible, paraît-il, et c'est cela, le plus grand péril, c'est cela qui me fait tout-à-fait peur. Personne, sauf moi, n'a l'air de se souvenir que ce péril des périls a été dénoncé dans un film américain sorti en 1966, titré Le voyage fantastique pour la version française de 1967 que j'ai le rare bonheur d'avoir visionné les jours derniers.
           
        Ô lecteur inconscient...!, essayez donc de vous rendre compte.
           
        Emmanuel Macron dans un bathyscaphe, les deux, personne et engin, réduits nanotechnologiquement et circulant librement à l'intérieur de mes veines et artères pour y faire ce qu'il veut, pouvant se rendre dans mon cerveau, mais en vérité, que peut-on imaginer de pire dans l'horreur...?!? Big Brother est dépassé, George Orwell n'a pas été si loin, à beaucoup près ! Et c'est cette horreur qui nous guette, qui me guette, qui vous guette. Comme commente judicieusement un journaliste, après avoir vu le film : "Plus de 40 ans après [la sortie du film], à l'heure où de micro incisions suffisent pour effectuer les plus complexes des opérations chirurgicales, le film apparaît comme une œuvre visionnaire" (Thomas Roland, dans Brazil).
 
 
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        Mais maintenant, immergeons-nous, si je puis dire sans rire. Le film narre l'histoire suivante. Des scientifiques à l'intérieur d'un sous-marin nucléaire, après avoir été très-microscopiquement réduits par un procédé ultra top-secret d'extrême miniaturisation (on ne dit pas encore : nanotechnologie, en 1966), sont injectés dans l'artère jugulaire d'un savant important pour supprimer un caillot sanguin dans son cerveau l'ayant plongé dans le coma, impossible à opérer chirurgicalement. Une fois parvenus sur site, ils ont pour tâche d'anéantir ledit caillot avec un canon-laser dont ledit sous-marin est équipé. Ce savant n'est pas n'importe qui, c'est un transfuge de l'Est passé à l'Ouest, seul à posséder la clef de la paix du monde, mais il a subi un attentat par les méchants de l'Est, genre Vladimir Poutine pour faire dans l'actu (suivez attentivement mon regard... amerloque), et il faut maintenant le sortir de son coma, donc supprimer le caillot sanguin, pour qu'il puisse révéler le secret de la paix du monde, laquelle ne peut être mise en œuvre que par les forces de l'Ouest (n'oublions pas que le film est ricain). Le visuel du "voyage fantastique" dans le corps humain est si calqué sur le réel, qu'on s'y croirait presque (le scénariste s'est fait conseiller par des scientifiques véritables). Péripéties énormes entre le système artériel et veineux où le sous-marin rentre par erreur à cause d'une fistule imprévisible, ... et impossible de faire marche arrière !, entre autres traversées palpitantes du cœur, du poumon et de l'oreille interne.
           
        En 1966, l'homme venait de marcher sur la lune il y a à peine un an, et le scénariste s'inspire visiblement de ce voyage dans le macrocosme pour son voyage microcosmique... Il s'inspire aussi sûrement des BD "Objectif Lune" & "On a marché sur la lune" qu'Hergé avait fait paraître d'une manière très-anticipatrice voire visionnaire plus de dix ans auparavant, en 1953 : on a un traître dans la fusée, pardon, dans le sous-marin nucléaire, comme avec l'ingénieur Wolf ! Et il y a un câble arrimé au bathyscaphe qui pète, jetant un membre de l'équipage sorti à l'extérieur dans l'intersidéral des... poumons, implacablement aspiré, comme avec le capitaine Haddock risquant de partir vers la planète Mars ! De même encore, les turbulences mettent parfois les membres de l'équipage en état d'apesanteur... comme avec les Dupont/d ! Le mode "très-sérieux" adopté dans le film rajoute d'ailleurs encore au côté loufoque et hilarant (seule la fin est un peu bâclée). Ce film est très-facile à trouver gratuitement sur Internet, version française (faites, dans le moteur de recherche Google : "Le voyage fantastique 1966 streaming"). Si vous éprouvez trop de difficultés à le trouver, n'hésitez pas à me contacter à mon courriel (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.), ce sera un plaisir pour moi de vous aider à le dégotter... et pour vous, de rire en regardant ce film de science-fiction.
 
 
le voyage fantastiqueFantastic voyage1966Réal. : Richard Fleischer
           
        ... Ah les amis !, quelle... INJECTION !! Et que de rapprochements avec notre situation vaccino-covidienne où des scientifiques actuels (véritables, quant à eux) sont effrayés de voir au microscope des petites nano-pieuvres ou des trucs à faciès géométrique bizarroïdes de nature parfaitement inconnue, se balader dans le sang des vaccinés...!!
           
        Dans le film, des médecins réduits nanotechnologiquement sont envoyés dans un corps humain pour le guérir. Mais, depuis la découverte de l'énergie atomique, on ne connaît que trop la terrible nature ambivalente du progrès scientifique : tourné à l'envers, le progrès qui peut donner la vie peut aussi donner la mort.
           
        Alors, voilà. Depuis que j'ai vu ce film, je fais toutes les nuits le même cauchemar récurrent, abominable, atroce, sordide, jusqu'à en suer d'angoisse :
           
        Macron, Schwab, Gates, et tutti quanti, dans mes artères, se dirigeant len-te-ment, len-te-ment, dans un bathyscaphe-pieuvre, vers mon cerveau...................
           
        Heureusement, ils ne pourront JAMAIS atteindre mon âme, qui me relie au Ciel éternel, pour la bonne et simple raison métaphysique que Dieu l'a créée comme étant vitalement immanente à tout mon corps, elle n'existe donc pas dans un lieu particulier de mon corps, quelqu'il soit, et ne peut pas être vu par les fils de l'Antéchrist...
 
En la belle fête de
Notre-Dame de Lourdes,
ce 11 février 2022.
Vincent Morlier,
Écrivain catholique
 
 
 
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Saint Thomas More
(1478-1535)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
11-02-2022 14:33:00
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