Intro de l'article "Réfutation de la thèse guérardienne"
Mais ne pourrait-on pas dire que vous avez adopté la thèse "guérardienne" puisque, dans votre propre thèse de "LA PASSION DE L'ÉGLISE", vous introduisez les distinctions "matérielle-formelle" pour donner la solution théologique à "la crise de l'Église" (en effet, je professe que l'Église, depuis Vatican II pour faire court, est en état de péché matériel et non formel, signe topique de l'économie de la Passion dans laquelle elle vit depuis lors, comme le signifie la formule de saint Paul "Le Christ a été fait péché pour notre salut" en II Cor V, 21) ?
Réponse : Ma thèse de "LA PASSION DE L'ÉGLISE" n'a strictement rien à voir avec celle du Père Guérard des Lauriers, pour la raison très-précise que la distinction "matérielle-formelle" n'est employée par moi dans ma thèse que d'une manière purement accidentelle (comme qualifiant une substance), et non comme une substance elle-même, bien affirmée par les néologismes inventés par l'auteur de cette thèse : "materialiter", "formaliter". Car dans "la Thèse", comme écrivent les guérardiens en mettant le "T" majuscule avec une humilité touchante, le "pape materialiter" est une substance qui tient métaphysiquement dans l'existence.
Réfutation de la thèse "guérardienne", complètement folle de folie totale,
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