La Passion de l'Église

Articles de fond

  • Le Retour des juifs à Jérusalem & en terre d'Israël dans nos temps modernes : signe formel de la fin des temps.

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  • La vraie et seule solution du problème de la cohabitation des juifs et des arabes en Terre sainte, ou le miracle extraordinaire de la théandrie.

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  • La canonisation de Jean-Paul II : une "si grande contradiction" (He XII, 3).

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  • L'Antéchrist-personne devant clore notre fin des temps sera-t-il... le dernier pape LÉGITIME de l'Église catholique ?

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Christ crucifié souriant

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Marie sur la croix

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Intro de l'article "Exposé de la thèse

de LA PASSION DE L'ÉGLISE"

        La thèse de "LA PASSION DE L'ÉGLISE" expliquant "la crise de l'Église" est extrêmement simple, de la simplicité du Saint-Esprit, et tient en fort de peu de mots. Mais elle, et elle seule, rend compte victorieusement de la Foi face à la situation ecclésiale aberrante issue de Vatican II, théologiquement incompréhensible, et qui s'énonce ainsi : Le 7 décembre 1965, date mémorable à jamais, le pape Paul VI a promulgué avec toute l'Église Enseignante, dans un cadre certain d'infaillibilité, un Décret magistériel contenant une hérésie formelle, à savoir Dignitatis Humanae Personae, sur la Liberté religieuse.

        Comment bien expliquer cela, qui est théologiquement... inexplicable ? Est-ce que cette situation ecclésiale, hélas absolument vraie et réelle dans toutes les parties de l'énoncé susdit, mais que toutes les mouvances tradis en présence dans le Tradiland cherchent à fuir de bâbord ou de tribord, ne manifesterait pas, n'illustrerait pas, ce que saint Paul nous apprend lumineusement de la Passion du Christ, lorsqu'il la décrit comme la "si grande contradiction" (He XII, 3-4) ? Ou encore, lorsqu'il dit du Christ vivant sa Passion, qu'Il est "fait péché pour notre salut" (II Cor V, 21) ? 

        Mais comment donc l'Épouse immaculée du Christ (et, au fait, le Christ avant elle), peut-elle être "faite péché"... sans que la Note de Sainteté dont elle est divinement dotée soit entachée d'aucune espèce de coulpe ou faute formelle séparant de Dieu ? Est-ce la théologie dogmatique, avec sa notion d'infaillibilité, qui résout le problème gravissime de notre "crise de l'Église", ou bien la théologie morale, avec sa notion d'impeccabilité, n'y serait-elle pas plus adéquate ? 

        Réponse et mise à plat chirurgicale, à la fois terrible, affreuse, mais libératrice et sanctifiante, ici, et nulle part ailleurs....................

 

  

 

 

 

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Vincent MORLIER

Auteur & Editeur

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